Le jeudi 11 et vendredi 12 avril à 2030 au Théâtre des Nouveautés à Tarbes
C’est avec une mise en scène éblouissante de L’Éveil du printemps que nous avions, il y a maintenant deux saisons, rencontré ce jeune metteur en scène de 35 ans. Mais c’est avec La nuit tombe… un texte qu’il a lui même écrit que nous accueillerons Guillaume Vincent et son équipe.
La nuit tombe… se déroule dans une chambre d’hôtel et raconte trois histoires qui se croisent puis s’imbriquent : celle de Susan et de sa petite fille remonte le cours du temps, celle de Wolfgang, cinéaste qui harcèle son actrice et plonge par bouffées dans les traumas de l‘enfance et celles de deux demi-sœurs invitées au mariage de leur père. Dans cette chambre d’échos, les amours se confondent et le réel cède sous le poids de l’irréel.
La pièce a des allures de scénario qui servirait à faire du théâtre. « Une machine de scène » selon l’expression de Guillaume Vincent qui trouve aussi son inspiration du côté des cinéastes qu’il affectionne (Bergman, Bresson, Buñuel et Fassbinder). Ici la chambre qui pourrait être n’importe où, agit comme une chambre noire révélatrice de nos angoisses et de nos désirs et les acteurs y tiennent une très grande place.
Son théâtre est aussi un théâtre d’atmosphère où la peinture et la chanson se trouvent convoquées de manière saisissante et jamais illustrative.
La nuit tombe… se déroule dans une chambre d’hôtel et raconte trois histoires qui se croisent puis s’imbriquent : celle de Susan et de sa petite fille remonte le cours du temps, celle de Wolfgang, cinéaste qui harcèle son actrice et plonge par bouffées dans les traumas de l‘enfance et celles de deux demi-sœurs invitées au mariage de leur père. Dans cette chambre d’échos, les amours se confondent et le réel cède sous le poids de l’irréel.
La pièce a des allures de scénario qui servirait à faire du théâtre. « Une machine de scène » selon l’expression de Guillaume Vincent qui trouve aussi son inspiration du côté des cinéastes qu’il affectionne (Bergman, Bresson, Buñuel et Fassbinder). Ici la chambre qui pourrait être n’importe où, agit comme une chambre noire révélatrice de nos angoisses et de nos désirs et les acteurs y tiennent une très grande place.
Son théâtre est aussi un théâtre d’atmosphère où la peinture et la chanson se trouvent convoquées de manière saisissante et jamais illustrative.
Mise en scène et texte : Guillaume Vincent
Tarif : 27€, 23€, 19€, 10€
Théâtre des Nouveautés
44, rue Larrey- Tarbes